Au début du XXème siècle un grand ingénieur agronome, botaniste et poète, Zulfikar pacha, créa entre autres deux beaux jardins: l'Andalous du Guézireh et le Japonais de Hélouan. L'originalité de ces deux jardins montre que le Caire est une ville ouverte à tous les arts.
Une des principales curiosités de la ville de Hélouan, avec les stations thermales, est le jardin japonais qui s'appelait à l'origine "Jardin des pavillons de la vie asiatique".
Ce jardin fut créé en 1917 par l'ingénieur égyptien Mohamed Zulfikar pacha et inauguré en 1920. Zulfikar pacha en fit don par la suite au gouvernement égyptien présidé alors par le sultan Fouad.
Le jardin japonais recouvre une superficie de 10 feddans et est planté de grandes variétés de plantes et d'arbres en provenance du Sud-Est asiatique: des pins, des dattiers, des bambous, des tamaris, etc... Des lacs garnis de nénuphars, aux vastes feuillages, sont abrités par des saules pleureurs. Un peu partout des statues, des kiosques et des pagodes de styles coréen, malaysien, japonais ou vietnamien et de grandes ombrelles. L'allée centrale est bordée de colonnes électriques conçues selon le style japonais, autant d'éléments qui font de ce jardin une merveille. Autour d'un étang, trône un Bouddha, entouré de ses 47 disciples. Il semble plongé dans la méditation que rien ne trouble, pas même les cris des jeunes et des enfants qui s'ébattent dans ce jardin.
Vers le milieu du jardin, se trouve un grand bassin, coupé par des ponts de style japonais, où nagent des canards blancs. Sur ce bassin la jeunesse peut se promener dans des barquettes sous le regard d'un immense Bouddha. Les parasols chinois, autour de ce lac, abritent les tables et les chaises d'une cafétéria. Une autre cafétéria se situe près du petit étang entouré du Bouddha et de ses 47 disciples.
Ce jardin japonais est pour le moins curieux en Egypte. Il pourrait rappeler que dans les temps anciens l'Egypte était une étape sur la route orientale de la soie.
Le jardin japonais de Hélouan était, dans les années d'or de cette cité thermale, le point de rendez-vous des habitants de cette ville et de ceux qui venaient y faire des cures. Il l'est encore pour les Cairotes, surtout les jours de fêtes.
Ce jardin est à juste titre un objet d'orgueil pour la ville de Hélouan, surtout à la suite de sa récente restauration.
Cette création de Zulfikar pacha en 1917 fut une des œuvres créatives de cet ingénieur qui lança encore le jardin Andalous au Guézireh et celui du Musée de l'agriculture à Dokki.
Zulfikar pacha aménagea encore les jardins du Musée de l'agriculture à Dokki qui fut inauguré en 1938.
Ces jardins de Zulfikar pacha montrent que la ville du Grand-Caire est ouverte à tous les arts et il faudrait encore ajouter le Jardin International de Médinet Nasr.
Une des principales curiosités de la ville de Hélouan, avec les stations thermales, est le jardin japonais qui s'appelait à l'origine "Jardin des pavillons de la vie asiatique".
Ce jardin fut créé en 1917 par l'ingénieur égyptien Mohamed Zulfikar pacha et inauguré en 1920. Zulfikar pacha en fit don par la suite au gouvernement égyptien présidé alors par le sultan Fouad.
Le jardin japonais recouvre une superficie de 10 feddans et est planté de grandes variétés de plantes et d'arbres en provenance du Sud-Est asiatique: des pins, des dattiers, des bambous, des tamaris, etc... Des lacs garnis de nénuphars, aux vastes feuillages, sont abrités par des saules pleureurs. Un peu partout des statues, des kiosques et des pagodes de styles coréen, malaysien, japonais ou vietnamien et de grandes ombrelles. L'allée centrale est bordée de colonnes électriques conçues selon le style japonais, autant d'éléments qui font de ce jardin une merveille. Autour d'un étang, trône un Bouddha, entouré de ses 47 disciples. Il semble plongé dans la méditation que rien ne trouble, pas même les cris des jeunes et des enfants qui s'ébattent dans ce jardin.
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| Les jardins japonais de Helouan |
Vers le milieu du jardin, se trouve un grand bassin, coupé par des ponts de style japonais, où nagent des canards blancs. Sur ce bassin la jeunesse peut se promener dans des barquettes sous le regard d'un immense Bouddha. Les parasols chinois, autour de ce lac, abritent les tables et les chaises d'une cafétéria. Une autre cafétéria se situe près du petit étang entouré du Bouddha et de ses 47 disciples.
Ce jardin japonais est pour le moins curieux en Egypte. Il pourrait rappeler que dans les temps anciens l'Egypte était une étape sur la route orientale de la soie.
Le jardin japonais de Hélouan était, dans les années d'or de cette cité thermale, le point de rendez-vous des habitants de cette ville et de ceux qui venaient y faire des cures. Il l'est encore pour les Cairotes, surtout les jours de fêtes.
Ce jardin est à juste titre un objet d'orgueil pour la ville de Hélouan, surtout à la suite de sa récente restauration.
Cette création de Zulfikar pacha en 1917 fut une des œuvres créatives de cet ingénieur qui lança encore le jardin Andalous au Guézireh et celui du Musée de l'agriculture à Dokki.
Zulfikar pacha aménagea encore les jardins du Musée de l'agriculture à Dokki qui fut inauguré en 1938.
Ces jardins de Zulfikar pacha montrent que la ville du Grand-Caire est ouverte à tous les arts et il faudrait encore ajouter le Jardin International de Médinet Nasr.
Le progres Egyptien
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